Les politiques publiques, les projets associatifs et autres plans d’action institutionnels doivent être évalués. C’est aujourd’hui un point central dans la gouvernance de nos sociétés. Si l’obligation d’évaluation n’est pas fixée par décret, elle procède de l’éthique gestionnaire ou managériale. L’évaluation d’impact, notamment, devient tout-à-fait essentielle ; en atteste le Prix Nobel d’Economie 2019 attribué à Esther Duflo.
Participation de tous les acteurs
Évaluer un dispositif implique la participation d’une série d’acteurs : les responsables politiques et administratifs qui l’ont conçu, les intervenants qui l’ont mis en œuvre, ses publics cibles (citoyens, entreprises ou autres), ses bénéficiaires effectifs ou potentiels, les partenaires associés et autres parties prenantes. Sonecom s’attache activement à susciter et croiser ces regards et contributions.
Des outils pour un diagnostic pertinent
La discipline évaluative repose sur des principes et une base conceptuelle ainsi que sur la maitrise d’outils et techniques à déployer empiriquement. Pour mener ses missions d’évaluation en toute indépendance et avec la rigueur qui convient, Sonecom a cultivé en interne cette compétence théorique et pratique. Selon le mandat confié, ses rapports évaluatifs posent un diagnostic en termes de pertinence, de cohérence, d’effectivité, d’efficacité et/ou d’efficience de la mesure ou initiative évaluée.