Nos méthodes d’intervention

Pour analyser une activité spécifique ou une expérience singulière via l’appréhension qualitative d’une situation événementielle, en recourant à des techniques multiples.

Pour évaluer un dispositif public selon des critères de pertinence, d’effectivité, d’efficacité et d’efficience, en en mesurant les résultats et les effets par rapport à des indicateurs quantitatifs et en comprenant les conditions et la portée grâce à des indicateurs qualitatifs.

Pour mesurer l’état de l’opinion (grand public ou public ciblé) par rapport à une problématique donnée en mettant en évidence les éventuelles différences d’attitudes significatives par segments de population.

Pour se préparer à être acteur de son futur. Pour doter un collectif de visions à long terme sur un secteur d’activités, une institution, un métier, un territoire, une problématique particulière et disposer d’un cadre structurant pour l’action.

Pour objectiver la situation dans un secteur donné au moyen d’un cadastre circonstancié pouvant porter sur l’emploi, le financement, les activités, les besoins en formation…

Pour mesurer des paramètres (comportements, représentations mentales…) à échéances répétées de sorte à en cerner les évolutions, notamment en cas d’action menée au niveau des facteurs d’influence ou de modification du contexte.

Pour disposer d’un panorama chiffré relatif à un territoire offrant une vue détaillée des différents critères (économiques, sociaux, démographiques…) qui le structurent et en font ses spécificités par rapport à d’autres entités, et ce avec possibilité de mise à jour régulière.

Pour aborder qualitativement un terrain ou une question aux contours ou enjeux encore mal définis ou méconnus, en vue de dégager de premières tendances et de formuler des hypothèses de travail.

Pour étudier de façon longitudinale les effets d’une mesure ou d’un dispositif sur ses bénéficiaires en mesurant auprès de ceux-ci les mêmes indicateurs à des temps successifs : avant l’entrée dans le dispositif, pendant, à la sortie et quelques mois plus tard.

Pour évaluer le niveau de satisfaction d’un public (clients, travailleurs, visiteurs…) par rapport à une situation ou un service, en prenant en compte le degré d’importance des diverses dimensions qui constituent l’appréciation livrée.

Pour connaître les besoins d’une population donnée (employeurs, travailleurs, étudiants…) en une matière particulière (formation, services, ressources…) en s’intéressant à leur situation actuelle, à la situation qu’ils escomptent et aux moyens d’y parvenir.

Pour estimer le potentiel d’adhésion ou d’implication dans un projet (économique, social, associatif…) compte tenu d’éléments de contexte et, le cas échéant, connaître ses conditions de réussite, en collectant et analysant des données auprès des parties prenantes pressenties.

Pour étudier un sujet qui concerne un public déterminé (large ou restreint) dans une approche compréhensive faisant la part belle aux vues et expériences des acteurs concernés, le collectif favorisant l’illustration, la polarisation et la modélisation des attitudes en présence.

Pour constituer un groupe représentatif d’une population donnée ou diversifié en termes de profil en vue de l’impliquer dans une démarche participative ou délibérative telle qu’un panel de citoyens.

Pour connaître, étape après étape, le parcours d’un groupe d’individus (anciens apprenants ou stagiaires, anciens bénéficiaires…) après leur sortie d’une formation ou d’une prise en charge, de sorte à cerner leur devenir mais aussi l’incidence du dispositif, moyennant dans certains cas le recours à un groupe témoin.

Pour produire une connaissance relative à une problématique spécifique en faisant interagir des sujets géographiquement éloignés par le biais de questions ouvertes ou de stimuli audiovisuels, le matériau étant ensuite soumis à une analyse de contenu.

Pour appréhender une situation à la suite d’une action, compte tenu des résultats de l’action en soi et des facteurs contextuels, afin de discerner les changements significatifs pour les acteurs concernés et leur environnement, en regard d’une situation de référence.

Pour accéder aux schémas de pensée ou aux logiques d’action d’individus singuliers dûment sélectionnés afin de pouvoir décrire et comprendre les modèles d’attitudes typiques, dominants et minoritaires, existant dans une population cible à propos d’une question donnée.

Pour étudier un phénomène déterminé à travers les témoignages de sujets l’ayant expérimenté, selon une logique déductive de vérification d’hypothèses ou inductive de type bottom up.

Pour proposer un modèle de compréhension d’un phénomène a priori méconnu en identifiant les stratégies mises en place par les acteurs confrontés à une situation donnée dans des conditions particulières, ainsi que leurs conséquences.

Pour disposer d’une photographie objectivée de la fréquentation d’un site (lieu touristique, espace culturel, événement, festival…) en termes de profil, de motivation, de démarche, de satisfaction ou encore d’intentions futures.

Pour quantifier de façon fiable l’affluence de piétons, de véhicules, de clients, de participants à un événement ouvert, etc., afin de déterminer le volume d’individus concernés par une activité ou un espace.

Pour collecter efficacement des données par Internet auprès d’une population ou d’un échantillon de cette population en toute commodité pour les répondants, avec un dispositif de relance assurant la représentativité des résultats.

Pour recueillir l’avis d’un groupe cible à propos d’un projet non dans une perspective scientifique mais bien dans une visée participative visant l’amélioration du projet tout autant que l’adhésion des parties prenantes.

Pour générer une dynamique de changement au sein d’un collectif, d’un réseau ou d’un secteur, par le biais d’une recherche menée avec les acteurs sous la conduite d’un chercheur qui contribue à conceptualiser, à traduire les avancées en langage partagé et à formuler les pistes d’action dégagées ensemble.

Pour constituer une base de données dûment structurée et exploitable par tout logiciel courant, avec un taux minime de données manquantes et exempte d’incohérences, en vue de traitements statistiques ou de publication sous forme de répertoire.

Pour analyser un espace à partir d’un relevé raisonné et systématique des éléments visuels constituant les indicateurs de caractéristiques sociales, géographiques, environnementales ou économiques des lieux.

Pour visualiser des données statistiques primaires ou secondaires de façon cartographique (entités territoriales) ou sur un plan factoriel positionnant de façon relative les individus (entreprises, groupes sociaux, acteurs d’un champ donné…) et les caractéristiques associées selon deux axes correspondant à des significations particulières.

Pour établir un diagnostic précis et fiable de la situation matérielle prévalant dans un périmètre donné : état de propreté d’espaces publics, équipements et services présents dans une zone déterminée, etc., avec possibilité d’extrapolation en cas d’échantillonnage par bandes de terrain.

Pour vérifier la conformité d’un service, d’une prestation ou d’un accueil, via le screening et l’analyse des critères au respect desquels l’opérateur visité ou contacté s’est engagé (labellisation, charte qualité, code professionnel…), et ce dans le respect de la déontologie la plus stricte à l’égard de celui-ci.

Pour disposer d’un outil en ligne permettant l’intégration de données chiffrées et leur traitement automatisé pour produire des outputs actualisables sous forme de tableaux et graphiques, consultables à partir de tout point d’accès Internet.

Pour étudier une question à partir de sources documentaires sélectionnées suivant des critères raisonnés, validées au plan de la critique interne et externe, dans le but de dégager des observations révélant des options politiques, stratégiques, communicationnelles, ou encore des systèmes de représentations mentales.

Pour connaître le taux de notoriété spontanée et assistée d’une marque, d’un programme ou d’une institution, globalement et par segment de public cible, de même que pour saisir la nature et l’intensité de l’image mentale qui y est associée, éventuellement en comparaison d’entités concurrentes ou comparables.

Pour évaluer ex ante, de façon concomitante ou ex post un programme ou un projet en termes de mise en œuvre, de résultats atteints et d’effets produits, au regard des objectifs de départ (qualitatifs et quantitatifs) énoncés dans la programmation.